La fin de la collecte des déchets en Haute Gironde suscite de vives réactions.

Depuis le 1er octobre, sept communes sont impactées par l'arrêt du ramassage en porte à porte.

Le Smicval, le syndicat en charge de la collecte des ordures, a mis en place des points d'apports volontaires, mais cette solution est loin de faire l'unanimité.

Les habitants de ces communes doivent désormais se rendre aux points de collecte pour déposer leurs déchets.

Cependant, cette nouvelle organisation est source de frustration pour de nombreux citoyens.

Certains dénoncent le manque de praticité de ces points d'apports volontaires, estimant que cela engendre davantage de contraintes et de temps perdu.

Pour certains habitants, cette décision du Smicval est vécue comme une catastrophe.

Ils pointent du doigt le fait que la collecte en porte à porte était un service essentiel, facilitant grandement leur quotidien.

De plus, la mise en place de ces nouveaux points de collecte soulève des interrogations sur les potentielles nuisances qu'ils pourraient générer, tels que les problèmes d'odeurs ou d'insalubrité.

Face à cette contestation grandissante, les autorités concernées n'ont pas encore réagi.

Les habitants espèrent une prise de conscience de la part du Smicval et la mise en place de solutions alternatives, plus satisfaisantes pour tous.

En somme, la fin du ramassage des déchets en porte à porte dans ces sept communes de Haute Gironde est loin de faire l'unanimité.

Les points d'apports volontaires mis en place par le Smicval sont vivement critiqués par une partie de la population, qui dénonce une diminution de la qualité de vie et un manque de praticité.

L'attente des habitants se porte désormais sur une réaction des autorités compétentes pour résoudre cette situation délicate.