En Isère, la baisse du nombre d'internes en médecine se fait ressentir, mais elle n'affecte pas les hôpitaux du nord du département.

Selon le professeur Olivier Palombi, neurochirurgien et doyen de la faculté de médecine de Grenoble, cette diminution était anticipée.

Il souligne que cette situation résulte de la réforme du deuxième cycle des études médicales.

Cette nouvelle organisation des études a modifié le processus d'accès à l'internat, désormais constitué de deux évaluations distinctes : un examen écrit en début de sixième année et des épreuves orales à la fin de celle-ci.

En conséquence, les étudiants se retrouvent à perdre une année de formation par rapport au système précédent.