Une étudiante de l'Université catholique de Lille a malheureusement perdu la vie suite à une méningite bactérienne, comme l'a révélé l'Agence régionale de santé des Hauts-de-France.

Selon les informations communiquées par l'organe de santé publique, cette jeune étudiante aurait été en contact étroit avec un total de treize personnes au cours des dix derniers jours.

Ainsi, les équipes de veille sanitaire, en collaboration avec l'université, ont pris contact avec toutes les personnes concernées afin de leur prescrire un traitement antibiotique préventif.

L'Agence régionale de santé souligne toutefois que le risque de transmission de la méningite reste faible.

Pour qu'il y ait un réel danger selon l'agence, il faudrait avoir eu des contacts étroits, rapprochés et répétés avec la personne infectée, et ce pendant les dix derniers jours (période maximale d'incubation).

Ainsi, partager un verre ou faire la bise ne présente par exemple aucun risque de transmission, précise l'ARS.

Par ailleurs, il est inutile de procéder à la fermeture ou à la désinfection des locaux, car le germe ne survit pas dans l'environnement extérieur.

Les étudiants et le personnel de l'établissement peuvent donc continuer à fréquenter normalement l'université, rassure l'ARS.

Cependant, il est essentiel de rester vigilant et de prendre toutes les précautions nécessaires pour prévenir la propagation de la maladie.

Il est important de rappeler que cet article vise à informer et sensibiliser sur la situation sans promouvoir quoique ce soit.