Le lycée Al-Kindi, établissement scolaire musulman situé à Décines, fait l’objet de critiques suite à un rapport d’inspection qui l’associe à des livres jugés « radicalisés » et à un règlement jugé « discriminant pour les filles ».

De plus, certains cours auraient pour objet une éducation en contradiction avec les principes républicains.

Rachida Briza, professeure de physique-chimie au sein de cette institution depuis sept ans, exprime son indignation face à ces accusations.

Elle affirme ne pas reconnaître l’établissement qu’elle connaît et décrit cette présentation comme une stigmatisation de la communauté éducative d'Al-Kindi.

Briza se dit choquée par les allégations qui semblent dépeindre l’école comme un bastion de radicalisme alimenté par une interprétation dépassée de l’islam.