Un pistolet d’imprimante 3D découvert après une tentative de règlement de comptes à Marseille Une scène familière pour les enquêteurs de Marseille s'est déroulée il y a quelques jours : deux individus à moto ont ouvert le feu sur un groupe, avant de s'enfuir.

Peu de temps après, un véhicule accidenté a été retrouvé à proximité, accompagné d'une arme à feu abandonnée.

Cependant, ce qui différencie cette affaire des autres est le fait que l'arme en question était en réalité un pistolet automatique fabriqué à l'aide d'une imprimante 3D.

Selon les informations obtenues par France Info, cet incident s'est produit rue Loge, à proximité du Vieux-Port.

Heureusement, la tentative d'assassinat n'a pas abouti et personne n'a été blessé.

Néanmoins, il semblerait que l'utilisation d'une arme entièrement fabriquée à partir d'une imprimante 3D soit une première dans le monde du narcotrafic marseillais.

Cette découverte met en lumière les nouvelles techniques utilisées par les criminels pour obtenir des armes à feu.

Les imprimantes 3D, initialement conçues pour des applications industrielles et domestiques, permettent désormais la production de pièces de plus en plus complexes, y compris des armes à feu.

Ce phénomène soulève de nouvelles problématiques en matière de sécurité publique, car ces armes sont souvent difficiles à détecter et à tracer.

Les autorités marseillaises sont désormais confrontées à un nouveau défi pour lutter contre le narcotrafic et le crime organisé dans la région.

Il est essentiel de développer des stratégies efficaces pour contrer l'utilisation croissante de ces armes fabriquées par impression 3D, afin de prévenir de futures tentatives d'assassinat et de maintenir la sécurité des citoyens de Marseille.

Il est à noter que l'article ne fait aucunement la promotion de la fabrication ou de l'utilisation d'armes à feu, mais souligne l'évolution des techniques criminelles et les enjeux sécuritaires correspondants.