Deux semaines après les inondations majeures ayant touché Saint-Nicolas-de-Redon, une crêperie de la commune est toujours en ruines.

Le processus de réhabilitation a commencé difficilement le mercredi 12 février.

Une employée, Marie Jouchaud, partage son expérience : « Je suis au chômage technique, tout comme de nombreux collègues dans le secteur. » De nombreuses autres entreprises de la zone d'activité ont également subi des dommages importants.

Environ trente commerces ont été affectés, mais ils peuvent se tourner vers l'arrêté de catastrophe naturelle pour espérer un soutien.

Alain Le Gouévec, directeur d'un restaurant, souligne : « Cela va permettre un déblocage plus rapide et plus facile des aides. » Cependant, pour Albert Guichard, le maire de la ville, cette mesure est insuffisante.

Il a déjà contacté le ministre d'État pour souligner la nécessité de mesures supplémentaires face à la gravité de la situation.