
Publié le jeudi 02 janvier 2025
"Dry January : Relevez le défi d'un mois sans alcool pour la santé et le bien-être !"
Le Dry January, ou "mois sec", a vu le jour en 2013 au Royaume-Uni et a rapidement pris une ampleur internationale.
L'idée est simple : s'abstenir de consommer de l'alcool durant tout le mois de janvier.
L'année précédente, environ quatre millions de Français ont relevé ce défi.
Quel sera le nombre de participants en 2025 ?
Miranda, qui apprécie cette tradition de janvier sans alcool, exprime ses hésitations cette année, étant donné qu’elle aborde le mois avec plusieurs célébrations d’anniversaire.
Elle se sent presque coupable de ne pas s'engager pleinement cette fois-ci, optant plutôt pour une version assouplie.
Pour certains, le défi d'un mois sans alcool peut sembler aisé, tandis que pour d'autres, cela pose des difficultés.
Cela dit, c’est une opportunité intéressante de tester sa résistance à l’alcool, surtout en s'engageant avec d'autres.
Cesser la consommation d'alcool pendant quatre semaines offre plusieurs avantages, tels que l'amélioration de la qualité du sommeil, car même une faible consommation peut perturber le repos nocturne.
Les bénéfices d'une telle pause se manifestent rapidement : une peau plus hydratée, un système immunitaire renforcé et un foie en meilleure santé.
De plus, la réduction de la consommation d'alcool peut également entraîner une perte de poids, un verre de vin de 12,5 cl contenant l'équivalent de 6 à 8 morceaux de sucre.
Julia, une habituée du Dry January, a récemment trouvé de nouvelles motivations.
Bien que la perte de poids ait été son principal objectif à l'origine, elle se concentre désormais sur sa relation avec l'alcool.
Elle avoue que, même si sa perte de poids est moins significative avec l'âge, elle apprécie de prouver qu'elle peut s'abstenir de boire pendant un mois.
Paul, quant à lui, confirme qu'en diminuant sa consommation d'alcool, il remarque souvent une légère perte de poids.
Pascal, 54 ans, bien qu’amateur de vin, a toujours su gérer sa consommation.
Il prend des pauses, notamment après des périodes de fêtes.
Cette année marque son premier Dry January, et il est motivé par plusieurs facteurs : un défi personnel, des économies financières, une meilleure santé et la perspective de revitaliser son foie.
Pierre, un jeune homme de 27 ans, partage un sentiment similaire.
Enthousiaste à l'idée de relever un défi, il souhaite adopter une approche plus responsable de sa consommation d'alcool, en commençant par le Dry January après avoir arrêté de fumer légalement en fin d'année précédente.