William Malet, individu responsable de l'attaque contre des Kurdes rue d'Enghien, a récemment fait des déclarations troublantes devant les autorités.

Dans une confession saisissante, il a avoué avoir ressenti une véritable envie de perpétrer un attentat.

L'image qui se dégage de ce tueur est complexe, son visage semblant être une mosaïque composite, où chaque fragment révèle quelque chose de singulier voire inquiétant.

Ce septuagénaire éclectique a, par le passé, exercé en tant que conducteur de TGV, avant de devenir parachutiste au sein de l'armée française.

Sa passion pour le tir à longue distance lui a valu le titre de champion, tandis que ses compétences en karaté et en pilotage d'avion de tourisme accentuent le caractère énigmatique de son profil.

Cependant, ces talents remarquables ne masquent pas ses sympathies politiques d'extrême droite ni son soutien inconditionnel à Éric Zemmour.

Polyglotte accompli, il maîtrise notamment le russe et l'hébreu.

Mais derrière cette apparence banale se cachent des pulsions haineuses envers les étrangers "non européens".

Le tueur fait également état de sombres fantasmes liés à des actes d'empalement, tout en souffrant d'un complexe concernant la supposée petite taille de son pénis.

Célibataire et autoproclamé "asexuel", William Malet ne compte ni enfants ni amis et revendique ouvertement son statut de "tueur raciste".

Ces révélations glaçantes jettent une lumière crue sur la personnalité complexe et contradictoire de William Malet.

Les autorités poursuivent leur enquête afin d'élucider les mobiles de cet individu et d'établir les responsabilités dans cette attaque contre des Kurdes qui a choqué la rue d'Enghien et suscité l'indignation générale.