Didier, ancien ouvrier chez Sénerval : un lien possible entre son cancer et l'incinérateur Didier, mécanicien d'entretien à l'incinérateur de Strasbourg pendant 20 ans, n'aurait jamais pensé être confronté à un cancer.

Malheureusement, il a récemment été diagnostiqué d'un lymphome folliculaire au niveau des ganglions.

Une maladie lourde à supporter, accompagnée des effets secondaires de la chimiothérapie tels que la perte de cheveux, la fatigue et les nausées.

Ce qui interroge Didier, c'est le lien potentiel entre son cancer et l'environnement dans lequel il a travaillé pendant toutes ces années. « Quand j'ai découvert mon cancer, j'ai tout de suite pensé à l'incinérateur », confie-t-il.

Il se souvient du changement survenu lorsque le groupe Séché a pris en charge la gestion de l'incinérateur en remplacement du groupe Protires.

Didier dénonce une diminution des mesures d'entretien, motivée par des considérations économiques. « Sous Protires, il y avait une maintenance tous les 18 mois.

Avec Séché, c'était seulement en cas d'incident », explique-t-il.

Ces révélations mettent en lumière l'importance d'une investigation approfondie sur les conditions de travail dans l'incinérateur de Strasbourg.

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