Dans la ville de Bordeaux, une vague de colère a envahi les rues suite aux résultats des élections européennes, plaçant l'extrême droite en position de force pour les législatives anticipées.

Plus de 1000 personnes se sont rassemblées place de la Victoire à l'appel d'organisations autonomes, mobilisant notamment la jeunesse.

Pour de nombreux manifestants, la montée de l'extrême droite rappelle des événements du passé et met en lumière les choix politiques actuels.

Critiquant le gouvernement en place, certains militants appellent à une mobilisation active pour contrer l'influence croissante de l'extrême droite.

Des appels à "tout bloquer" et à la "grève générale" ont été lancés lors du rassemblement, témoignant d'une volonté de lutte contre le pouvoir potentiel de l'extrême droite.

Des représentants d'associations et de syndicats ont également exprimé leur inquiétude face à des possibles changements à venir en cas d'arrivée de l'extrême droite au pouvoir.

La mobilisation s'est poursuivie avec une manifestation sauvage dans les rues de la ville, marquée par des dégradations et des affrontements avec les forces de l'ordre.

Malgré ces tensions, l'unité des forces politiques de gauche a été soulignée, avec l'annonce d'une alliance dès le premier tour des prochaines élections.

La soirée a pris fin dans un climat tendu, démontrant l'importance des enjeux politiques actuels et la détermination de certains citoyens à faire entendre leur voix face à une extrême droite aux portes du pouvoir.