Dans le sud de Lyon, la problématique des perfluorés, plus communément appelés PFAS, a suscité des inquiétudes sanitaires majeures.

Cette situation a engendré une réaction en plusieurs phases : l’étonnement initial, suivi d’une montée de colère, et désormais une volonté d’agir.

Depuis le mois de mai 2022, divers groupes tels que Bien Vivre à Pierre-Bénite et Pfas contre terre ont initié des actions légales et déposé des plaintes dans le but de clarifier les enjeux liés à cette pollution.

Parallèlement, d'autres se consacrent à la recherche de preuves scientifiques concernant l’étendue de la contamination.

Au sein de cette dynamique, le collectif Ozon l’eau saine, opérant dans le bassin de l’Ozon, se distingue par ses efforts.

Parmi ses membres, Louis Delon, maraîcher et ancien chimiste, collabore avec Sébastien Sauvé, un chercheur canadien, pour mener des études sur la pollution générée par les PFAS.

Ces initiatives visent à mieux comprendre les impacts de cette problématique sur l'environnement et la santé publique.