À partir du 1er octobre, la vitesse maximale autorisée sur le périphérique de Paris sera réduite à 50 km/h, contre 70 km/h actuellement, sur un premier segment.

Cette mesure vise à améliorer la qualité de l'air en réduisant la pollution.

Un automobiliste a exprimé que la fluctuation entre accélérations et arrêts n'est pas efficace : il est selon lui préférable d'assurer un flux de circulation plus constant.

Un rapport du CEREMA daté de 2021 souligne que la fluidité du trafic est essentielle pour atténuer les émissions polluantes, précisant que l'accélération est le principal facteur d'émissions, plutôt que la vitesse en elle-même.

Ainsi, il est incertain que la baisse de vitesse conduise à un trafic plus homogène.

En revanche, les résidents proches du périphérique devraient bénéficier d'une diminution du bruit ambiant.

Bien que le ministère des Transports ait exprimé des réserves sur cette décision, un accord a été trouvé avec la municipalité de Paris, et la mise en place de la limitation de la vitesse à 50 km/h sera étendue à l'ensemble du périphérique d'ici le 10 octobre.