Didier Vincent, client de longue date de la Banque Courtois à Toulouse, a récemment vécu une situation déconcertante.

Ce lundi matin, il a découvert avec désarroi que les bijoux de sa mère, qu'il avait déposés en 2003 dans un coffre de la banque pour les protéger, avaient disparu. À l'époque, après avoir été cambriolé, il avait pris la décision de sécuriser ces objets de valeur en les plaçant dans le coffre n°0.57.

Quelques semaines auparavant, Didier avait reçu une notification lui indiquant qu'il devait vider son coffre en raison d'un transfert de l'établissement.

Ne parvenant pas à retrouver la clé de son coffre après tant d'années, il avait fait appel à un service spécialisé pour y accéder. À son arrivée dans la salle des coffres, il a été choqué de constater qu'il ne restait rien d'autre qu'un élastique à billets au centre du coffre.

La directrice adjointe de l'agence, présente lors de l'ouverture, n'a pas pu lui fournir d'explications sur cette disparition.

Selon Didier, elle n’a pas montré d’empathie face à sa situation.

De plus, il a constaté que sa fiche de visite avait également été égarée.

Après réflexion, il a évoqué la possibilité que le coffre 0.57 ne soit pas le sien, se remémorant qu'il avait tourné à droite lors de son précédent dépôt, tandis que cette fois-ci, il avait été conduit vers l'allée centrale, où se trouvait un autre coffre, le 9.57, dont le propriétaire reste introuvable.

Didier a proposé à la directrice d’ouvrir le coffre 9.57, espérant qu'il puisse être le bon, mais sa demande a été refusée, en indiquant qu’un huissier devrait être présent pour intervenir.

Dans l'intervalle, il a déposé une plainte en ligne pour le préjudice moral qu'il subit.

Didier espère qu'une solution sera bientôt trouvée et que les souvenirs de sa mère, perdus avec les bijoux, pourront être récupérés.