Mobilisation anti-autoroute : le combat de Thomas Brail pour la préservation des arbres Thomas Brail est devenu une figure incontournable de la lutte écologiste en Occitanie en 2023.

Son engagement pour la préservation de la nature et sa lutte contre le projet de l'autoroute A69 entre Toulouse et Castres ont marqué les esprits.

Pendant des semaines, il s'est perché dans les arbres, mettant même sa santé en danger.

Aujourd'hui, il tire le bilan de cette année de mobilisation et évoque l'avenir de cette lutte.

Interrogé par France 3 Occitanie, Thomas Brail exprime son sentiment sur le bilan de cette année de lutte.

Il estime que la mobilisation a été positive, faisant beaucoup de bruit et suscitant une réelle prise de conscience sur l'importance des arbres.

Il souligne que cette lutte n'est pas vaine et continuera à être menée contre le projet autoroutier.

La mobilisation ne faiblit pas, et Thomas Brail remercie ses compagnons qui continuent à protéger le site, même par temps froid.

Il évoque même la possibilité de reprendre lui-même la lutte en grimpant à nouveau dans les arbres pour sensibiliser l'opinion publique.

De nouvelles actions sont envisagées pour les semaines et mois à venir, notamment dans le domaine culturel et artistique, afin de diversifier les formes d'engagement et d'attirer un plus large public.

Thomas Brail insiste sur le fait que la mobilisation ne s'arrêtera pas et rappelle que ce projet autoroutier est clairement au service des laboratoires Pierre Fabre.

Enfin, Thomas Brail livre un message fort pour l'année 2024 : il interpelle les politiques en leur rappelant que le temps presse et que l'avenir de la planète est en jeu.

Il appelle à un réveil collectif, car si rien n'est fait aujourd'hui, les générations futures leur en tiendront rigueur.

Ce témoignage de Thomas Brail illustre la détermination de tous ceux qui se battent pour préserver notre environnement.

La mobilisation contre l'autoroute A69 ne faiblit pas, et les actions se poursuivront dans le but de sensibiliser toujours plus de personnes à la protection de la nature.